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Quand la science rencontre l’intuition : dialogue entre géobiologie et diagnostic électromagnétique

Dans l’univers des pollutions environnementales, deux mondes semblent s’opposer : celui de la mesure rigoureuse et celui du ressenti subtil. Pourtant, ma récente rencontre avec Sébastien Denèle, géobiologue et sourcier, m’a ouvert des perspectives inattendues sur ces approches apparemment antagonistes.

Deux méthodes, un même objectif

Chez ZeroWaveZone, notre démarche repose sur des protocoles stricts : nous mesurons avec des appareils certifiés les champs électromagnétiques, identifions les sources de pollution et proposons des solutions techniques concrètes. Sébastien, lui, travaille sur plans, utilise la radiesthésie et se fie à son ressenti pour harmoniser les énergies telluriques et cosmiques.

Deux univers, deux langages… et pourtant, quelle surprise de constater nos convergences !

Des constats troublants qui nous rapprochent

Sur le terrain électrique, nos observations se rejoignent de manière saisissante. Sébastien identifie instinctivement les problématiques que nos mesures révèlent : lampes de chevet mal branchées, multiprises génératrices de champs électriques, défauts de mise à la terre. Là où mes appareils affichent des valeurs alarmantes, son pendule signale des perturbations.

Plus intriguant encore : nous intervenons souvent sur les mêmes symptômes. Troubles du sommeil, tensions familiales, problèmes de concentration… Ces manifestations que je relie aux pollutions électromagnétiques, il les attribue aux déséquilibres énergétiques. Deux grilles de lecture pour des réalités peut-être plus proches qu’il n’y paraît.

L’énigme de la satisfaction client

Voici le point qui m’interpelle le plus : Sébastien obtient une satisfaction client remarquable. Ses interventions, basées sur des « graphiques agissants » et des corrections subtiles, génèrent un ressenti positif immédiat chez ses clients. Ils perçoivent rapidement une amélioration de leur bien-être, retrouvent un sommeil réparateur, apaisent leurs tensions.

De mon côté, bien que mes corrections soient mesurables et scientifiquement fondées, j’observe parfois un décalage temporel entre l’intervention technique et le ressenti d’amélioration. Les clients reconnaissent l’efficacité de la démarche, mais le processus peut sembler plus long, moins… magique ?

La dimension psychologique : un facteur sous-estimé ?

L’approche de Sébastien intègre naturellement une dimension que je néglige peut-être : le rituel de guérison. Son intervention devient un moment de prise de conscience, une démarche active du client pour reprendre possession de son environnement. Cette implication psychologique, cette « croyance » dans le processus, amplifierait-elle les bénéfices perçus ?

Mes clients reçoivent un rapport détaillé, des mesures précises, des recommandations techniques. Mais participent-ils vraiment à leur propre transformation ? Sont-ils acteurs de leur mieux-être ou simples bénéficiaires de corrections techniques ?

La distance : une limite ou une opportunité ?

Un aspect particulièrement intriguant de l’approche de Sébastien : sa capacité à travailler à distance, sur plan. Armé de son pendule et de ses cadrans de radiesthésie, il est capable de diagnostiquer et corriger des déséquilibres énergétiques sans se déplacer physiquement.

De mon côté, ma pratique repose traditionnellement sur ma présence sur site, appareils de mesure à la main. Impossible de mesurer des champs électromagnétiques à distance… quoi que !!

L’éveil d’une conscience : quand le client devient acteur

Cette réflexion rejoint une observation frappante de ma pratique. Lors de mes diagnostics à domicile, je propose deux formules : soit je réalise les mesures seul et fournis un rapport détaillé, soit j’effectue le diagnostic avec le client présent, répondant à ses questions en temps réel.

La réalité du terrain est éloquente : la majorité de mes clients choisit la seconde option. Ils veulent « voir », comprendre, tester eux-mêmes. Cette soif de participation devient encore plus flagrante en présence d’adolescents.

Lorsque je parviens à motiver un jeune pour détecter lui-même les sources de pollution dans sa chambre avec un stylo testeur, le résultat est saisissant. Affolé par ses propres découvertes, il revient souvent me solliciter pour éliminer ces pollutions de son environnement intime. Il devient alors le premier acteur de sa transformation.

L’autodiagnostic : une révélation inspirée

Cette réflexion sur le travail à distance, combinée à mes observations de terrain, m’a conduit à une évidence : pourquoi ne pas confier temporairement mes appareils de mesure à mes clients ?

Cette approche, que j’ai formalisée sous forme de packs d’autodiagnostic, réconcilie plusieurs impératifs.

Elle permet de travailler « à distance » comme Sébastien, tout en maintenant la rigueur scientifique de mes mesures.

Elle transforme le client en véritable acteur de son diagnostic : il manipule les appareils, découvre par lui-même les sources de pollution, prend conscience de son environnement électromagnétique.

Mais l’aspect technique ne suffit pas. C’est pourquoi j’ai intégré à cette offre deux à trois séances d’accompagnement par téléphone ou visioconférence. Ces échanges permettent l’écoute, l’explication, la pédagogie – cette dimension humaine que l’approche de Sébastien met en lumière.

Un compromis vertueux qui ouvre de nouvelles perspectives

Cette formule hybride offre un équilibre remarquable : efficacité technique, participation active du client, réduction des déplacements et donc de l’empreinte carbone.

Le client devient co-créateur de son mieux-être, à l’image de ce que génère naturellement l’approche géobiologique.

Cette évolution de ma pratique, je la dois en grande partie à ma rencontre avec Sébastien. Son approche m’a révélé l’importance de la participation active du client dans son processus de transformation.

Merci à lui pour cette découverte qui enrichit aujourd’hui mes prestations et, j’en suis convaincu, améliore l’expérience de mes clients.

Et vous, qu’en pensez-vous ?

Un commentaire

  1. Le client acteur et accompagné est un concept nouveau, j’ai hâte de lire par la suite vos retours d’expérience !
    …et reste dubitative à propos de la réelle action que peut avoir la géobiologie contre des radiations artificielles qui ne sont pas censées être présentes dans l’environnement naturel, base de cette pratique. Comme vous le mentionnez, l’aspect psychologique joue une part importante, au moins à court terme : l’effet placebo est souvent observé, chez les personnes qui achètent des patchs anti ondes, des CMO, des machines futuristes, et sa durée semble liée à l’ampleur de la somme investie.
    Sérieusement, compte tenu des milliers d’études scientifiques dont les premières, déclassifiées par l’armée Américaine, remontent à plus de 60 ans, quid du risque dommages biologiques à long terme quand on s’expose à des pollutions qui restent présentes sur les appareils de mesure ?
    La satisfation est une chose, la sécurité en est une autre. Gardant en mémoire l’exemple des leucémies infantiles près des lignes à haute tension, pour ma part je ne confierais pas ma sécurité à mes seules sensations, car si je ne ressens pas une pollution, cela ne veut pas dire qu’elle ne n’abîme pas toute ma famille en sourdine. Et je ne confierais pas ma sécurité électromagnétique au Feng Shui ou à la géobiologie, même si ces pratiques peuvent être culturellement intéressantes.

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