Environnement électromagnétique et santé : une source essentielle pour comprendre

La complexité des interactions entre ondes et corps humain

Chers lecteurs de ce blog, vous le savez, mon engagement a toujours été de vous aider à naviguer dans le maelström des ondes électromagnétiques artificielles (OEMA) qui nous entourent. Détecter ces signaux invisibles, mettre en place des solutions pour les atténuer, voire dans certains cas les supprimer, est le cœur de mon expertise et la mission de ZeroWaveZone.

Cependant, il est crucial de souligner une limite importante à mes compétences.

Si je peux vous guider dans le dédale technique des fréquences et des dispositifs émetteurs, mon savoir ne s’étend pas aux complexes mécanismes biologiques qui régissent la façon dont nos corps interagissent avec ces ondes. Or, pour appréhender les interactions des OEMA avec le vivant, il est nécessaire de comprendre la neurosensorialité, l’embryologie, et les réactions physiologiques au niveau cellulaire et organique.

Une ressource précieuse : le travail de POEM26

C’est pourquoi, lorsque l’on aborde la question du ressenti du corps en présence des ondes électromagnétiques artificielles, je préfère m’effacer et vous orienter vers une source que je trouve particulièrement éclairante : le dossier « Le ressenti du corps en présence des ondes électromagnétiques artificielles » proposé par POEM26.

Ce document, fruit du travail et de l’expérience de Catherine Neyrand, masseur kinésithérapeute diplômée d’état depuis 1980 et praticienne de diverses méthodes basées sur le ressenti des patients, offre une perspective précieuse.

Son expérience personnelle en tant que femme électrohypersensible (EHS) et mère d’une enfant devenue soudainement EHS en 2005, ainsi que sa fonction de présidente de Poem26 lui ont permis de rencontrer de nombreuses victimes des ondes.

Cette triple casquette de soignante, de personne concernée et d’observatrice attentive confère à ses propos une richesse et une authenticité indéniables.

La somesthésie : notre corps comme récepteur sensoriel

Elle explore notamment la somesthésie, cette « sensibilité somesthésique générale » désignant les sensations conscientes éveillées par la stimulation des tissus du corps, distinctes de la vision, de l’audition, du goût ou de l’odorat.

Le dossier met en lumière comment notre corps, avant tout un récepteur sensoriel, réagit aux stimulations des OEMA et comment les personnes EHS peuvent elles-mêmes établir un diagnostic en expérimentant les réactions de leur corps.

Une incompréhension médicale persistante

Il est regrettable de constater, comme le souligne le document, que suite au rapport de la SFST (Société Française de Santé au Travail) fin décembre 2023, le corps médical a souvent tendance à considérer les plaintes des personnes EHS uniquement sur un plan émotionnel, sans envisager l’environnement électromagnétique comme une cause possible de leurs douleurs et troubles physiologiques.

L’invisibilité des ondes et la méconnaissance de leur impact sur le corps laissent un nombre important de personnes « au bord de la route », confrontées à l’errance médicale et sociale.

Autrefois, les médecins se rendaient compte de l’environnement de leurs patients. Il est dommage que nombre de nos médecins ne semblent pas avoir cette ouverture d’esprit, cette conscience ou peut-être le courage d’explorer une « autre voie » que celle qu’ils ont apprise il y a 30 ans, une voie qui prendrait en considération la complexité de notre interaction avec ce « brouillard électromagnétique artificiel qui a envahi nos lieux de vie ».

Conclusion

Dans cet article, nous avons souligné le travail important de POEM26 concernant les effets biologiques des ondes électromagnétiques artificielles.

Pour approfondir cette exploration, je vous recommande vivement de consulter leurs ressources.

Et si le document de Catherine Neyrand n’est pas une thèse de médecine, il se veut une véritable alerte au corps médical.

Médecins dans votre entourage ? Partagez ce document avec eux ! Leurs commentaires éclairés seraient précieux, et ils trouveront certainement un intérêt majeur dans le « Petit guide pour un diagnostic » également téléchargeable sur le site de l’association.

Mais soyons réalistes : la prise en compte de l’environnement électromagnétique dans le diagnostic médical reste un horizon lointain.

Alors concrètement, que faire aujourd’hui ?

Permettez-moi de partager ce postulat que personne ne peut contester je pense :

« Si les ondes électromagnétiques artificielles peuvent (potentiellement) nuire à notre santé, les éliminer supprime automatiquement leurs effets potentiels ».

Cette évidence, aussi simple que puissante, guide chacune de nos actions chez ZeroWaveZone.

Vous cherchez des solutions concrètes, pas seulement des théories ?

ZeroWaveZone détecte l’invisible et transforme votre environnement en réduisant, voire en supprimant ces rayonnements.

Pourquoi attendre que la science rattrape ce que votre corps ressent peut-être déjà ?

Et vous, qu’avez-vous entrepris pour votre environnement électromagnétique ? Partagez votre expérience en commentaire !